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Architecture, urban planning and research in, on and next to water
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荷蘭漂浮城市 為未來家居定立新概念 創意、型格又環保

By Katrina Y
2021.January.24

香港地少人多令土地問題久久未能解決,但在地球的另一端,地大脈博的荷蘭同樣面對另一個長遠影響房屋供應的問題,那就是氣候變化。據外國傳媒資料顯示,荷蘭有超過一半的人居住在低於海平面的地區,而不斷上升的水位就成為了迫在眉睫的問題。可幸的是,憑著建築界的前瞻性,荷蘭發展出“Floating City”——「漂浮城市」,並以可持續發展與環保為設計前題,令人與海洋能相依共處,當中更帶來不少富未來性的漂浮屋設計。

荷蘭建築師Koen Olthuis(i29 Studio)

荷蘭建築師Koen Olthuis(Waterstudio)

於2010年起,荷蘭已經有不少建築師在構想漂浮城市的可行性;談及推動此概念成真的表表者,就必需認識荷蘭建築師Koen Olthuis。專注於水上建築設計的他,相信為人們提供更多居住空間不一定只有建立人工島、填海造地這單一辦法,反之好好利用水上空間帶來的彈性和流動性,才是更長遠可行的方案。他與他的Waterstudio團隊抱著這個信念,在成立超過10年的期間,已在世界各地完成了200多個水上建築項目;其中於阿姆斯特丹的Ijburg,更成為了全球發展得較成熟的漂浮城市。

Ijburg漂浮屋(Water Studio)

Ijburg漂浮屋(Water Studio)

除了Ijburg之外,近年於荷蘭亦相繼發展出不同的漂浮社區,例如由 Space&Matter打造的Schoonschip,它位於阿姆斯特丹北部前工業區的Johan van Hasselt運河上,容納著100個住戶。屋主可以自行請來心儀的建築師來打造自己理想的漂浮屋,而今次帶大家看看由i29 Studio設計的作品,相信是不少人心目中的理想家居。

位於阿姆斯特丹北部前工業區的Johan van Hasselt運河上Schoonschip(SPACE&MATTER)

位於阿姆斯特丹北部前工業區的Johan van Hasselt運河上Schoonschip(SPACE&MATTER)

以深色木材為外層的漂浮屋,遠看感覺型格冷酷,內裡卻充滿明亮溫暖感。屋內分成三層,以一條樓梯貫穿不同樓層;為了提升屋內的空間感,設計師特意於每層保留一部份的開放空間,無論置身於哪層都能夠與其他樓層的人連結起來;除內觀景開揚,設計師特意安排一扇L型的落地大玻璃,讓住戶能享受到更廣闊的運河景觀。

深色木材為外層的漂浮屋,遠看感覺型格冷酷。(SPACE&MATTER)
深色木材為外層的漂浮屋,遠看感覺型格冷酷。(SPACE&MATTER)

與Schoonschip其餘開發項目一樣,設計師同樣遵從可持續發展與環保的概念,在此家居中加入了節能設施,包括能從運河水中提取熱量的水泵,為房屋一年四季提供熱能,以及提供電力的太陽能電池板,當中取得的電力更能夠存儲於國家能源網中,令建築成為推動環保能源的一份子。

Schoonschip內裡卻充滿明亮溫暖感,跟外牆建築形成強烈對比。(SPACE&MATTER)
Schoonschip內裡卻充滿明亮溫暖感,跟外牆建築形成強烈對比。(SPACE&MATTER)
Schoonschip內裡卻充滿明亮溫暖感,跟外牆建築形成強烈對比。(SPACE&MATTER)
Schoonschip內裡卻充滿明亮溫暖感,跟外牆建築形成強烈對比。(SPACE&MATTER)
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了解過荷蘭因另一種的土地問題而發展出來的「漂浮城市」,未知能否激發大家對於香港未來城市規劃的新構想呢?

 

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Un théâtre flottant dédié au jeune public va émerger sur les berges du Rhône à Lyon

By Odile Morain
France news live
2021.January.19

La construction de ce nouveau lieu culturel insolite doit débuter mi-mars. L’île Ô, c’est son nom, prendra place sur les quais du Rhône, près du pont Gallieni au sud de Lyon.

Alors que le secteur culturel traverse une longue période de doute, il y a ceux qui ne perdent pas espoir et imaginent des projets fous. C’est le cas de Jean-Philippe Amy qui attend avec impatience la naissance de son nouveau lieu culturel à Lyon : un théâtre flottant sur la rive gauche du Rhône baptisé L’île Ô. 

Un projet innovant

Jean-Philippe Amy n’est pas un inconnu dans le milieu culturel lyonnais. Il dirige depuis seize ans le Patadôme à Irigny, un théâtre qui a mis au coeur de sa programmation l’accompagnement des jeunes spectateurs. Avec son équipe, il souhaite poursuivre son travail dédié au théâtre jeune public, ici sur le Rhône. C’est l’agence d’architectes néerlandaise Koen Olthuis – Waterstudio.NL, qui a été choisie pour la conception et la réalisation du projet. Spécialisée en construction flottante auprès de l’UNESCO, elle signera, à Lyon, son premier ouvrage en France. “C’est un projet vraiment innovant, la grande première c’est de créer un bâtiment ambitieux qui va faire onze mètre de large et 45 mètres de long pour en faire un vrai théâtre, ça n’a jamais été fait”, détaille Jean-Philippe Amy.

 

Projet du théâtre flottant de Lyon, conception Koen Olthuis – Waterstudio. NL (France 3 Aura / Koen Olthuis – Waterstudio. NL)

 

Redynamiser un quartier en devenir

Amarré sur les berges du Rhône entre le pont Gallieni et le viaduc SNCF, l’établissement culturel flottant accueillera, entre autre, un théâtre de 220 places, une salle avec gradins de 75 places, un espace de restauration et une terrasse panoramique, le tout sur une surface de 1200 m2. A terme, L’île Ô pourrait devenir un centre de création régionale dédié à la petite enfance. L’objectif de ce nouveau lieu est de renforcer l’offre culturelle dans la partie sud de la ville et répondre, selon la mairie, à la nouvelle sociologie du quartier. Le projet de deux millions d’euros est financé à 100% par des capitaux privés. Les portes de l’Ile Ô ouvriront au début de l’année 2022

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Lyon : un théâtre flottant sur le Rhône début 2022

Le projet L’ÎLE Ô va voir le jour dans le 7e arrondissement début 2022. Au programme, théâtre, espaces de réception et de restauration et terrasse panoramiquent sur le Rhône.

Imaginée et étudiée depuis plusieurs mois par l’équipe du Patadôme Théâtre, Jean-Philippe Amy et David Lahille, le projet L’ÎLE Ô va bien voir le jour après avoir été  sélectionné dans le cadre d’un appel à projets associant les collectivités et services de l’État. Un emplacement lui a été attribué sur le Rhône, dans le 7e arrondissement à la jonction du Pont Gallieni et de l’Avenue Leclerc.

Au sein de six volumes sur un socle coque, sur 3 niveaux  s’installeront un théâtre de 220 places, une salle avec gradins de 75 places, des espaces de réception et de restauration et une terrasse panoramique abritée. La surface totale prévisionnelle est de 1200m2. 

Koen Olthuis – Waterstudio.NL, architecte néerlandais, conseiller spécial en construction flottante auprès de l’UNESCO, a été choisi pour la conception et la réalisation du projet. Les travaux débuteront durant l’été 2021 et l’ouverture au public est prévue pour début 2022. 

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L’île O, des scènes de théâtre flottantes sur les berges du Rhône en 2022

By Le Progres
2020.Dec.08

Cette structure flottante, une première, sera dédiée au théâtre pour le jeune public.

Cette structure sera installée sur les berges du Rhône, début 2022. Photo Progrès /DR

 

Début 2022, l’espace culturel L’île O, conçu sous la forme de scènes flottantes, fera son apparition sur les berges du Rhône, dans le 7e arrondissement de Lyon, à la jonction du pont Gallieni et de l’avenue Leclerc.

Une ouverture prévue en 2022

Il s’agira d’un espace réservé à la pratique et à la diffusion du théâtre, dédié en priorité pour le jeune public. Le projet, qui a séduit VNF, Voies navigables de France, gestionnaire du domaine public fluvial, est porté par l’équipe du Patadôme Théâtre d’Irigny. Koen Olthuis – Waterstudio. NL, architecte néerlandais, conseiller spécial en construction flottante auprès de l’Unesco, a été choisi pour la conception et la réalisation du projet L’Île Ô.

Il signera, à Lyon, son premier ouvrage en France. La construction de la structure débutera début 2021 pour une ouverture au public prévue début 2022.

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Grüne Stadterweiterung auf Wasser

By Elisabeth Schneyder
UBM Magazin
2020.Oct.01

In immer dichteren Städten bleiben Flora und Fauna auf der Strecke. Das Büro Waterstudio will das Dilemma mit dem „Sea Tree“ lösen: Naturreservate auf schwimmenden Türmen sollen für grüne Stadterweiterung sorgen. Für Menschen unzugänglich – aber im Dienste ihrer Gesundheit und Zukunft.

Zutritt verboten, Nutzen garantiert

Die Idee zu „Sea Tree“ steht schon seit Längerem auf Waterstudios Agenda. Ähnlich wie futuristische Pläne des visionären Architekten Vincent Callebaut oder seines italienischen Kollegen Luca Curci, harrt sie jedoch der Umsetzung. Genau wie viele andere, spannende Konzepte für mehr urbanes Grün und Umweltschutz, von denen sich „Sea Tree“ allerdings in einem zentralen Punkt unterscheidet: Den Entwicklern geht es nicht um neue Erholungszonen für geplagte Städter. Der gestapelte „Meeresbaum“ soll für Menschen sogar unzugänglich sein. Er soll schwimmende Naturreservate schaffen. Im Namen von Biodiversität und Umweltschutz. Weil beides Gesundheit und Zukunft aller Lebewesen dieses Planeten dient.

 

 

 

Teil der Stadt und trotzdem ungestört: „Sea Tree“ soll Tieren und Pflanzen neue Lebensräume schaffen. (Bild: Architect Koen Olthuis, Waterstudio)
Teil der Stadt und trotzdem ungestört: „Sea Tree“ soll Tieren und Pflanzen neue Lebensräume schaffen.

Als eine Art „City App“ soll der „Meeresbaum“ in Häfen, an Fluss-, Ozean- und Seeufern, vor Inseln, aber auch nahe an Industriezonen auf freiem Wasser ruhen. Als schwimmendes Objekt, das zu 100 Prozent für Flora und Fauna gebaut und konzipiert ist. Die grüne Stadterweiterung kann in Höhe und Tiefe dem jeweiligen Standort angepasst werden. Denn die Konstruktion berücksichtigt Bedingungen wie Wassertiefe, Wellen, Gezeiten und Strömungen. Wie ein Baum im Wald, soll sich der „Sea Tree“ sanft mit dem Wind bewegen. Halt findet der Turm durch ein am Meeres-, Fluss- oder See-Boden befestigtes Kabel- und Verankerungssystem.

Öl-Türme für Umweltschutz

Das Gerüst des vielschichtigen Turms ist aus Stahl. Und es wird, so Waterstudio, unter Verwendung neuester Offshore-Technologie gebaut. „Sea Tree“ nützt von Öllagertürmen im offenen Meer erprobte Technik: „Die Ölgesellschaften haben diese schwimmenden Lagertürme seit Jahren benutzt. Wir haben ihnen nur eine neue Form und Funktion gegeben“.

Und geht es nach den kreativen Architekten, kommen Ölkonzerne auch auf ganz andere Art ins Spiel: Sie sollen beweisen, dass sie bereit sind, zum Schutz der Umwelt beizutragen. Schließlich verfügten sie sowohl über hilfreiches Wissen, als auch über passende Ressourcen. Anders gesagt: Her mit den Türmen – aber künftig ohne Öl.

 

 

 

Grüne Stadterweiterung auf Wasser. New York könnte von der Idee der niederländischen Architekten profitieren – mit einem „Sea Tree Wald“ rund um Manhattan. (Bild: Architect Koen Olthuis, Waterstudio)
New York könnte von der Idee der niederländischen Architekten profitieren – mit einem „Sea Tree Wald“ rund um Manhattan.

Entsprechend heißt es in der Projektbeschreibung des Waterstudio-Teams: „Sea Tree bietet den Ölgesellschaften eine Möglichkeit, ihre positive Einstellung gegenüber der Umwelt umzusetzen“. Das „schwimmende Produkt“ könne Städten hinzugefügt werden wie eine App einem Smartphone: „Der Ölkonzern bleibt Eigentümer und die Stadt stellt einen Standort zur Verfügung“.

Was für die Unternehmen vermutlich feine Image-Pflege wäre, würde Umwelt und Allgemeinheit tatsächlich nützen. Vor allem, wenn es nicht bei einem einzigen „Meeresbaum“ bleibt. Denn dass die grüne Stadterweiterung Biodiversität fördern, die Luft in Ballungsräumen verbessern und dem Klimawandel entgegenwirken könnte, liegt auf der Hand.

 

 

 

Grüne Stadterweiterung auf Wasser. Die schwimmenden, für Natur reservierten Wolkenkratzer sollen CO2 „schlucken“ und weit über ihren Ankerplatz hinaus für gesündere Umwelt sorgen. (Bild: Architect Koen Olthuis, Waterstudio)
Die schwimmenden, für Natur reservierten Wolkenkratzer sollen CO2 „schlucken“ und weit über ihren Ankerplatz hinaus für gesündere Umwelt sorgen.

Immerhin spielt langfristig ungestört gedeihende Vegetation eine gewichtige Rolle bei der Absorption von CO2 aus der Atmosphäre. Und da, wo „Wildnis“ keinen Platz mehr hat, bemüht man sich, auf „kultivierte“ Art vom Mehr an Grün zu profitieren. Nicht umsonst setzen Architekturbüros und Stadtplaner in aller Welt zusehends auf dicht begrünte Fassaden, Dächer und Gebäude. Projekte wie der „Mandragora-Wohnturm“ für New York, der Düsseldorfer „Kö-Bogen 2“ oder Koichi Takadas riesiger „Urban Forest“ in Australien sind nur ein kleiner Auszug aus der aktuellen Beispielliste.

Umdenken gefragt

Bedenkt man, dass Erdölkonzerne selbst zu den größten CO2-Produzenten der globalen Wirtschaft zählen, klingt Waterstudios „Sea Tree“-Vorschlag noch recht kühn. Allerdings könnte das Projekt mittlerweile doch mehr Gehör finden. Schließlich betonen inzwischen auch Unternehmen wie BP, ihren Kohlendioxid-Ausstoß verringern zu wollen. Und der Druck der Öffentlichkeit, es nicht bei bloßen Ankündigungen zu belassen, wächst.

 

 

 

Grüne Stadterweiterung auf Wasser. Viele Ebenen für viele Arten: Ziel des Projekts ist es, dem bedrohlichen Verlust natürlicher Vielfalt Einhalt zu gebieten. (Bild: Architect Koen Olthuis, Waterstudio)
Viele Ebenen für viele Arten: Ziel des Projekts ist es, dem bedrohlichen Verlust natürlicher Vielfalt Einhalt zu gebieten.

Die grüne Stadterweiterung nach Waterstudio-Modell könnte kilometerweite Zonen positiv beeinflussen. Weit über den Standort jedes „Sea Tree“ hinaus. Auf die Idee zum originellen Entwurf kamen die Architekten durch Ökologen: Gefragt war ein Konzept zur Schaffung eines ungestörten Lebensraums für Pflanzen. Für die Niederländer lag es nahe, Wasser als schützende Barriere zu nützen, die Menschen von den geplanten Oasen fernhält. So, dass etwa auch Vögel und Insekten wieder eine Heimat finden. Auch dort, wo dichte Ballungsräume keine störungsfreien Plätze mehr für Nest und Bienenstock lassen.

Neuer Lebensraum, auch unter Wasser

Inspiriert von norwegischen Öl-Lagern wurde an einer Strategie gefeilt. Auch die Kronen mächtiger Bäume standen Pate. Ebenso, wie städtische Parks: Das Team unterteilte solche Grünzonen in Abschnitte. Diese wurden im Entwurf vertikal über einander geschichtet.

Der grüne Turm soll allerdings nicht nur über der Wasseroberfläche Natur erblühen lassen. Das Konzept sieht vor, dass auch darunter Vielfalt wachsen kann: Dort soll der „Meeresbaum“ Lebensraum für kleine Wasserlebewesen schaffen. Passen die klimatischen Bedingungen, könnten dort sogar Korallenriffe entstehen.

 

 

 

 

Grüne Stadterweiterung auf Wasser. Das „geschichtete“ Naturschutz-Konstrukt soll auch unter dem Wasserspiegel buntes Leben fördern. (Bild: Architect Koen Olthuis, Waterstudio)
Das „geschichtete“ Naturschutz-Konstrukt soll auch unter dem Wasserspiegel buntes Leben fördern.

„Wir haben Experten der renommiertesten Institute Hollands konsultiert“, versichert das Waterstudio-Team in der Beschreibung des Projekts. Der Entwurf basiere auf aktuellsten Forschungsergebnissen um optimale Bedingungen für Flora und Fauna zu bieten. Die Errichtungskosten seiner Wasser-Wolkenkratzer bezifferte Waterstudios Chef-Architekt Koen Olthuis in der Entwicklungsphase – vor wenigen Jahren – mit etwas mehr als einer Million Euro.

Sein Traum: „Sea Tree Wälder“ vor Manhattan und anderen Metropolen in Uferzonen. Überall dort, wo Raumnot kaum noch oder gar keinen Platz mehr für Naturreservate lässt, könnte die grüne Stadterweiterung auf dem Wasser für mehr Lebensqualität sorgen. Als grüner „Blickfang“ und effiziente Umweltschutz-Maßnahme.

Mehr als ein „Fantasie-Projekt“

Die ausgefallene Idee als Vision eines Fantasten abzutun, wäre zu kurz gedacht. Immerhin gilt Architekt Koen Olthuis als Spezialist für wasserbasierte Entwicklungen. Das „Time Magazine“ setzte ihn bereits einmal auf die Liste der einflussreichsten Personen der Welt. Und das französische „Terra Eco“ ehrte den Holländer schon 2011: Im Ranking der 100 „grünen“ Personen, die die Welt verändern werden.

 

 

 

Spannende Zukunftsvision: Grüne Stadterweiterung mit ufernahen „Sea Tree“-Wäldern. (Bild: Architect Koen Olthuis, Waterstudio)
Spannende Zukunftsvision: Grüne Stadterweiterung mit ufernahen „Sea Tree“-Wäldern.

Zudem klingt bestechend logisch, was Olthuis propagiert: „Prognosen gehen davon aus, dass bis 2050 etwa 70 Prozent der Weltbevölkerung in urbanisierten Gebieten leben werden. Die Tatsache, dass etwa 90 Prozent der größten Städte der Welt am Wasser liegen, zwingt uns, die Art, wie wir mit Wasser in der verbauten Umwelt umgehen, zu überdenken“.

„Planung für den Wandel“

Künftige Entwicklungen und Bedürfnisse sind unvorhersehbar. Deshalb sei „Planung für den Wandel“ nötig, meint der Waterstudio-Chef: „Unsere Vision ist, dass schwimmende Großprojekte in städtischer Umgebung eine greifbare Lösung bieten, die sowohl flexibel als auch nachhaltig ist“. Ideen dazu hat er viele. Zum Beispiel den „Meeresbaum“, der Tieren und Pflanzen – die schließlich auch fürs Wohl der Spezies Mensch vonnöten sind – verlorenen Lebensraum zurückgibt.

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Solar powered yacht – sails and moors for off-grid escape

By Karing Kloosterman
Green Tech and Gadgets
2020
.Aug.19

solar powered home yacht can moor like a barge in Amsterdam

A movable home that can plunge its support deep into the water against hurricanes, or be brought on land to live off-grid.

I grew up as a Dutch girl in Canada. Among part of our family’s storytelling and legends was the tale about the Dutch boy who plugged a dyke with his thumb to save his town, the country, the world? from an encroaching sea. The flatlands people of Holland or The Netherlands as you might call them are at home with the idea of climate adverse consequences.

artuk's solar power house boat roams to any city

The houseboat reimagined

The national psyche is built on man against nature or man with nature, and for that the Dutch people have been reasonably doing unreasonable things against climate change and for helping the environment. See our article on the extraordinary city of Rotterdam, the home to one of resident writers, or Boyan Slat, who boldly plans to clean up the seas with his plastic-corralling invention.

fly in with your helicopter to this solar powered house boat

Whatever floats your boat. Call it a yacht, a barge, a houseboat, but it’s not a tiny home.

While Americans might rather escape to Mars with Elon Musk, the Dutch are battening down the hatches and are offering more reasonable approaches to dealing with Mother Nature, or an angry Mother Nature. Consider the Dutch firm who has designed a solar powered yacht that can lower stilts for a more permanent mooring.

Like the modern trailer also known as the #tinyhome or #vanlife, this yacht appeals to a certain eco personality that might also want to settle like the barge dwellers in Amsterdam. It is not your father’s houseboat.

solar power houseboat

Full speed ahead

The solar powered boat is created by the Dutch architecture studio Waterstudio.NL for the yacht maker Arku in Miami, with an option of it becoming an off-grid home.

The craft is 75 feet long, is fully solar-electric, mobile and self elevating. This turn-key vessel is furnished and decorated in style by the acclaimed Brazilian furniture company, Artefacto.

interior design of solar power houseboat yacht

Interior designed to be as fancy as this concept houseboat

The first one is for sale at a cool price of $5,500,000.

iconic looking housboat

Have the captains drooling. This does not look like a houseboat. Transforms into stilted urban getaway at the port.

Arkup is a Miami, US-based company founded in 2016, to pioneer next-generation floating homes. The company rethinks life on water with its fully solar-electric, mobile and self-elevating livable yachts they call “future-proof blue dwellings.”

Weather and future proof, rain harvesting too

These livable yachts feature zero emission and silent electric propulsion which provide mobility and maneuverability. An automated hydraulic lift system, allowing the vessel to put down a stable foundation in up to 20 feet of water, ensures stability and hurricane resilience.

sailing away solar powered yacht into the sunset

Sail away with me. Or anchor for the night?

The livable yacht has four bedrooms in 2,600-square-feet of indoor space, with 4,350-square-feet in total, including its terraces and balconies. To achieve its sustainability objectives, the Arkup design is 100 percent solar-powered and has systems for harvesting and purifying rainwater, for complete independence.

With Covid and potentially other climate change disasters facing us, let’s start saving? The other option might be our collective thumbs in the dyke.

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Будинок-яхта: в Нідерландах розробили віллу, яка зможе ходити морем – фото

2020.Aug.19

Проєкт поки лишається лише в планах
Проєкт поки лишається лише в планах / Dezeen

Нідерландська студія архітектури Waterstudio.NL створила електричну яхту-віллу, яка буде автономною та зможе ходити на воді. 22-метрове судно у вигляді будинку можна буде закріплювати до дна або ж самостійно передислокувати на інше місце.

Віллу назвали Arkup 75, а проєкт планують реалізувати поряд з якимось із перенаселених міст, пише Dezeen.

Основа вілли є гібридною, адже будинок може плавати як звичайна яхта та легко протистояти морю. Але у разі виникнення шторму, приміщення підіймають над водою 12-метрові палі, які кріпляться до дна.


Будівля без проблем триматиметься на морі / Фото Dezeen

Оскільки “Аrkup” плаває, він може справлятись із звичайними хвилями, але коли активуються палі, будинок виштовхується з води,
– розповів архітектор.


Так будівля виглядає у статичному положенні / Фото Dezeen

Разом з гібридним фундаментом, приміщення обладнане електричною системою, що працює на сонячних батареях, а також технологією збору дощової води, що робить будинок автономним.

Сонячний панелі охоплюють весь дах, щоб забезпечити електроенергією систему кондиціонування, приладів, освітлення, та всіх інших операційних систем на борту.


Єдина проблема – відсутність місця для вирощування власних харчів / Фото Dezeen

Arkup 75 розроблений так, щоб нагадувати гладку прямокутну прозору коробку, з якої відкривається вид на океан, а стінки виготовлені зі скловолокна, мають також висувну терасу та великі розсувні вікна.


Так вілла виглядає всередині / Фото Dezeen

Вілла має житлову площу 404 квадратних метри і, теоретично, може перебувати у відкритій воді допоки якась із систем не вийде з ладу або закінчиться електроенергія чи вода.


Мешканці також матимуть терасу на “борту” / Фото Dezeen

Waterstudio.NL designs yacht villa that can be raised out of the water

By Cajsa Carlson
News Break
2020.Aug.18

Dutch architecture studio Waterstudio.NL has created a solar-powered electric yacht-cum-villa with retractable stilts that allow it to be raised fully out of the water to become an off-grid home.

Named Arkup 75, the craft was designed for yacht company Arkup with a hybrid foundation that allows it to float when moving, be semi-supported when alongside a dock or fully raised up from the water.

“The design was inspired by the way flamingos stand in the water,” Waterstudio.NL founder Koen Olthuis told Dezeen. “Only a leg in the water and the body untouchable above the surface.”

Arkup 75 yacht villa by Waterstudio.NL
The yacht villa can be raised entirely out of the water on stilts

When it’s not travelling, the 22-metre long vessel can be anchored by four 12-metre steel spuds, which lower to the bottom at depths of up to 7.6 metres to keep it stable.

“As the Arkup is floating it can handle normal waves, but when the stilts are activated the house pushes itself out of the water,” Olthuis added.

“Now the waves can only hit the stilts, which makes it a hurricane-proof building.”

Arkup 75 yacht villa by Waterstudio.NL
The villa can also sail like a regular yacht

Along with the hybrid foundation, a solar-powered electric system, and a rain-harvesting and purification system make it capable of operating off-grid.

A solar array covers the entire roof to provide electricity for air conditioning, appliances, lighting, propulsion and all other operating systems on board.

Arkup 75 yacht villa by Waterstudio.NL
When raised on stilts it is described as a “hurricane-proof building”

Arkup 75, was designed to resemble a smooth, white frame that presents the ocean view as a picture, with glass-fibre walls, a retractable terrace and large sliding-glass windows.

It has a total living space of 404 square metres, is self-propelled and can, in theory, stay in open water indefinitely as long as there is enough solar power to provide energy.

Arkup 75 yacht villa by Waterstudio.NL
Arkup 75 can be fully lifted out of the water

Olthuis believe the yacht’s off-grid system will come in useful in the future, as he thinks sea-level rise and urban growth will lead coastal cities to develop on the water.

“Not just yachts but especially floating structures will take advantage of the space on water around our cities. These buildings are portable and can react to known and unknown changes in the demands of near future society,” he said.

“Covid is such an unknown change that has suddenly raised the popularity of off-grid, off-shore independent living.”

Arkup 75 yacht villa by Waterstudio.NL
The yacht-cum-villa can operate as an off-grid home

The architect added that Arkup is aiming to use the craft to demonstrate features that can also be applied to larger, high-density floating housing that could be built in the future.

According to Olthuis this is something that Waterstudio.NL has been advocating for almost two decades.

Arkup 75 yacht villa by Waterstudio.NL

“The water is being paved for water-based, high-density developments in cities threatened by sea-level rise and urbanisation,” he said.

“Each project is a small step towards those floating neighbourhoods.”

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Siedlungsbau: Schwimmende Städte

Steigende Meeresspiegel bedrohen weltweit den Lebensraum von Millionen Menschen. Architekten entwerfen daher neue Siedlungen im und sogar unter Wasser – und stoßen dabei auf ganz besondere Herausforderungen.

Seit Jahrzehnten experimentiert der französische Architekt Jacques Rougerie mit schwimmenden Strukturen. Eine seiner bekanntesten Visionen sieht aus wie ein Rochen, der sich an die Meeresoberfläche verirrt hat – eine Stadt auf dem Wasser für 7000 Bewohner. Die Zukunft der Menschheit liegt seiner Überzeugung nach im Ozean mit seinem Potenzial als Lebensraum, Energie- und Nahrungsquelle. In seiner Cité des Mériens sollen Professoren und Studenten über einen langen Zeitraum auf dem Meer leben und dort die Artenvielfalt erkunden – autark. Die schwimmende Universität beherbergt in ihrem Zentrum eine Lagune mit Aquakulturen und einen Hafen für Expeditionsboote sowie Gewächshäuser an ihren Flügelenden.

Im Jahr 2050 werden laut Prognosen der UN 90 Prozent der größten Städte mit Überflutung zu kämpfen haben. Von den 33 heutigen Megacitys mit jeweils mehr als zehn Millionen Einwohnern befinden sich 21 an den Küsten der Weltmeere. Sie sind unmittelbar vom steigenden Meeresspiegel aufgrund des Klimawandels betroffen – und wachsen dennoch unaufhaltsam weiter, wie so viele andere, vornehmlich asiatische Küstenstädte auch.

Um Bauland zu schaffen, wird Sand ins Meer gekippt. Das hat häufig katastrophale Folgen. Wenn der natürliche Küstenschutz – zum Beispiel aus Mangroven und Korallenbänken – zerstört wird, ändert sich die Strömung und mit ihr die ganze Küstenlinie. Dazu kommt ein weiteres Problem: Sand wird knapp. Denn er wird nicht nur zur Aufschüttung von künstlichem Land verwendet, sondern ist auch Bestandteil von Beton, dem gebräuchlichsten Baumaterial. 50 Milliarden Tonnen Bausand werden jährlich verbraucht. Einige Länder Asiens wie Malaysia, Indonesien oder Vietnam haben inzwischen den Export der begehrten Ressource verboten. Die Folge: Sand wird illegal abgebaut und auf dem Schwarzmarkt gehandelt.

“Wir müssen Wasser als neuen Baugrund begreifen.”

Architekten entwickeln nun verstärkt Pläne, die Stadt neu zu erfinden und auf das Wasser auszuweichen. Sogar die Vereinten Nationen können sich schwimmende Metropolen vorstellen. Erst vergangenes Jahr hat UN-Habitat, das Wohn- und Siedlungsprogramm der Vereinten Nationen, in New York einen ersten runden Tisch zu dem Thema veranstaltet, mit Forschern und Experten des MIT Center for Ocean Engineering und Mitgliedern des Explorer Clubs. Die dänischen Architekten von BIG-Bjarke Ingels Group stellten dort Oceanix City vor, eine Blaupause für das Leben auf dem Meer, die sie zusammen mit der Firma Oceanix entworfen haben.

Die schwimmende Stadt ist aus sechseckigen Plattformen von je 20 000 Quadratmetern zusammengesetzt, die für jeweils bis zu 300 Menschen ausgelegt sind. Die Module werden am Meeresboden verankert und miteinander verbunden. So kann die Siedlung wachsen und sich an die Bedürfnisse ihrer Bewohner anpassen. Oceanix City ist als abfallfreies Kreislaufsystem konzipiert, das seine Bewohner mit Energie, Trinkwasser und Nahrung versorgen kann. Kein Gebäude ist höher als sieben Stockwerke. Dadurch bleibt der Schwerpunkt der Inseln niedrig und die Konstruktion kann auch heftigen Stürmen standhalten. Mit anderen Worten: sie kippt nicht, auch nicht bei starkem Wellengang. Sollte sich das Wetter langfristig verschlechtern, ließen sich die Module vom Meeresboden lösen und in ruhigere Gewässer transportieren.

“Wir können uns Lebensräume auf dem Wasser erschließen, ohne Meeresökosysteme zu zerstören”, sagt Marc Collins Chen, Chef von Oceanix. “Die Technik dazu ist vorhanden.” Er bezeichnet das Potenzial des Projekts vor allem in der Erweiterung bestehender Küstenstädte: “Schwimmende Siedlungen könnten die verletzlichsten Bevölkerungsgruppen schützen.”

Um die Baukosten niedrig zu halten, sollen die Oceanix-Module an Land vorgefertigt werden, die Plattformen aus Salzwasser-resistentem Spezialbeton, die Gebäude möglichst aus lokalen nachhaltigen Baumaterialien, etwa aus Bambus. Die einzelnen Module gelangen dann im Schlepptau von Schiffen an ihren Ankerplatz. Und da auf dem Meer “Baugrund” in großer Menge vorhanden ist, könnten auch die Miet- oder Kaufkosten niedrig gehalten werden. Das bedeutet: schnell erschlossener, günstiger Wohnraum, den viele Küstenmetropolen so dringend benötigen.

“Wir müssen Wasser als neuen Baugrund begreifen, der anders funktioniert als das Land”, sagt Koen Olthuis. Vor mehr als 15 Jahren begann der Niederländer, sich mit seinem Büro Waterstudio.NL mit dem Bauen auf dem Wasser zu beschäftigen. Inzwischen hat er verschiedenste Projekte umgesetzt – darunter zahlreiche schwimmende Einfamilienhäuser. Gerade hat er den weltweit ersten schwimmenden Turm mit einer Höhe von 40 Metern präsentiert. Er sieht die Vorteile maritimer Stadtteile in einer dynamischeren und effizienteren Urbanität. Schwimmende Gebäude könnten verschoben und temporär dorthin gebracht werden, wo sie am besten zu nutzen sind. “Eine Stadt könnte zum Beispiel ein Fußballstadion leasen. Warum sollte man viel Geld für den Bau ausgeben? Besser, man mietet es, wie ein Auto”, sagt Olthuis. Solche mobilen und flexiblen “Immobilien” könnten für Investoren interessant sein – und damit den Einstieg in den Bau schwimmender Städte auslösen.

Kleine schwimmende Communities in Küstennähe großer Städte brauchen nicht unbedingt autark zu sein. Große Metropolen auf dem Meer müssten sich allerdings zwingend selbst versorgen können, mit einem eigenen Kreislaufsystem für Strom, Wasser, Abwasser und Müll. Als brauchbare “Standorte” hat das Seasteading Institute in Kalifornien Unterwassergebirge ausgemacht. Eine Wassertiefe von nicht mehr als 250 Metern erleichtere die Verankerung am Meeresboden.

Im Gegensatz dazu macht sich die Ocean Spiral gezielt die Tiefsee zunutze. 500 Meter Durchmesser hat das mit einer Wabenstruktur verstärkte und mit Acrylglas ummantelte Kugelbauwerk für 4000 Bewohner. Der größte Teil liegt wie ein Eisberg unter Wasser. Gigantische Ballastbälle halten die Stadt im Gleichgewicht. Eine spiralförmige Konstruktion verankert sie am Meeresgrund in bis zu 4000 Meter Tiefe. Zur Energiegewinnung wird die Temperaturdifferenz zwischen der kalten Tiefsee und den wärmeren Wasserschichten weiter oben genutzt. Mikroorganismen, die am Meeresgrund leben, sollen Kohlendioxid in Methan, also ebenfalls Energie, umwandeln. Trinkwasser könnte über Umkehrosmose hergestellt werden. Dabei wird der hohe Druck in der Tiefsee zur Entsalzung des Meerwassers genutzt. Unterwasserfarmen in den oberen Meeresregionen versorgen die Bewohner mit Fisch, Krustentieren und Wasserpflanzen. Am Ende der Spirale wird auf dem Meeresgrund nach natürlichen Bodenschätzen gegraben. Was wie eine Utopie anmutet, könnte nach den Plänen der japanischen Baufirma Shimizu bereits in zehn Jahren Wirklichkeit sein.

Künstliche Inseln sind mobil. Was heißt das für die Nationalität ihrer Bewohner?

Einen anderen Ansatz verfolgt Bauingenieur Gianluca Santosuosso. In Teamarbeit mit LESS, dem Laboratory for Eco Sustainable Systems, hat er Hypercay entwickelt, eine im Meer treibende Siedlung, die sich selbst versorgt. Dank seiner beweglichen Wirbelkonstruktion kann sich das Objekt den wechselnden Strömungsverhältnissen natürlich anpassen. Sollte es nötig sein, erzeugen hydraulische Hubkolben genug Antriebskraft, um die Megastruktur wie einen Aal durch enge Passagen, in Häfen oder Buchten navigieren zu können. Das Herz des Projekts ist sein autarkes Versorgungssystem, unter anderem bestehend aus einem “Marine Garden”, wo Tiere und Pflanzen gezogen werden, Müllrecycling zur Erzeugung von Biogas und einer Meerwasser-Entsalzungsanlage. Strom wird aus Sonnen- und Wellenkraft erzeugt.

Ideen für schwimmende Städte gibt es einige. Dennoch wurde noch keine davon in die Realität umgesetzt. Hohe Kosten und Scheu vor dem Risiko dürften eine Rolle spielen. Und womöglich gibt es ein Problem mit der völkerrechtlichen Zuordnung. Denn der Staatsbegriff bezieht sich eindeutig auf das Festland und die Küsten. Das schließt zwar alle Inseln mit ein, jedoch keine freischwimmenden Konstruktionen. Aber ist eine am Meeresboden verankerte Siedlung, die wie Oceanix City an einen anderen Ort verbracht werden kann, nun eine Insel, oder muss sie als mobiles Objekt betrachtet werden? Und was passiert mit der Nationalität ihrer Bewohner bei einem Standortwechsel? Auf Schiffen in internationalen Gewässern wiederum gilt die Rechtsprechung des Landes, unter dessen Flagge sie fahren. Müsste eine freischwimmende Stadt nicht wie ein Schiff behandelt werden? Unter welcher Flagge wäre sie dann unterwegs? Am Seasteading Institute träumt man von politisch autonomen Siedlungen auf See. Das Konzept des Nationalstaats, das Staatlichkeit, Territorium und Volk als untrennbare Elemente sieht, wird infrage gestellt. “Die Welt braucht Orte, wo man experimentieren und neue Gesellschaften aufbauen kann”, heißt es in der Selbstdarstellung.

Die Vereinten Nationen scheinen sich nun jedenfalls ernsthaft mit dem Thema zu beschäftigen. Künftig soll sich ein Expertengremium regelmäßig treffen, um die konkreten nächsten Schritte für Oceanix City zu planen – und die Stadt zum Schwimmen zu bringen.

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Seasteading: il futuro è vivere come un baccello nel mare

By Paola Piacenza
IO Donna
2020.July.25

Sono i nuovi pionieri. Ma questa volta la frontiera che vogliono conquistare è liquida e le case, ipertecnologiche ed ecosostenibili, sono su palafitte. Per i seguaci della filosofia nata in America negli anni ’80, un nuovo capitolo si sta per scrivere nelle acque panamensi. Per chi vuole prenotare, meglio pagare in Bitcoin

La desalinizzazione delle acque, il giardino di coralli artificiali, l’alimentazione a pannelli solari e le colture idroponiche sono dettagli. Significativi, ma dettagli. La vera novità nel progetto che sta prendendo forma nelle acque territoriali panamensi a firma Ocean Builders è la visione del mondo (e del mare) che lo nutre.

Essere autosufficienti in mare aperto

All’origine c’era un’idea, e un movimento, nato negli anni ’80, sviluppato nei ’90, ora reso tangibile, chiamato Seasteading, dalla fusione di sea, mare, e homesteading, prendere possesso di una proprietà per viverci in maniera autosufficiente.

Nel rendering, due SeaPod sottocosta.

Finora lo sfruttamento di alcune piattaforme petrolifere o di navi da crociera abbandonate è tutto ciò che ha prodotto. Al più ambizioso dei progetti, la Freedom Ship, una barca lunga un miglio per 50 mila persone che alla fine degli anni ’90 avrebbe dovuto circumnavigare il mondo («Ci stanno ancora lavorando….») aveva preso parte anche il Ceo di Ocean Builders, Grant Romundt che, dall’Idaho, via zoom, racconta a iO Donna a che punto sono i lavori per la costruzione della fabbrica che produrrà i giganteschi “SeaPod”, i baccelli marini, unità di misura dei villaggi su palafitte che stanno per nascere al largo: La pandemia ci ha rallentato, ma non ci siamo mai fermati. La fabbrica ospiterà la più grande stampante 3D dell’America latina, in grado di realizzare un modulo in un week end.

L’acqua e gli architetti olandesi

Il primo prototipo di SeaPod, disegnato dagli ingegneri, era brutto, racconta Grant, che si definisce «un amante dell’acqua e della tecnologia». Perciò è stato coinvolto lo studio di architetti più all’avanguardia quando si tratta di costruire sull’acqua, gli olandesi di Waterstudio. Il loro motto è: “Il futuro sostenibile sta oltre il lungomare”. «Ho incontrato Koen Olthuis di Waterstudio a Singapore, e subito ci siamo messi a disegnare come due bambini». Il risultato sono le strutture che vi mostriamo nei rendering in questa pagina, «degne dei Jetsons», il cartoon di Hanna e Barbera – da noi erano I pronipoti – protagonista una famiglia del futuro. Nessun angolo vivo, tre piani attrezzati issati su un palo in grado di resistere al moto ondoso: «Nella versione da alto mare, i test sono stati fatti su onde di cinque metri, ma per ora lavoriamo sottocosta» spiega Grant.

Il flop thailandese

Così era stato in Thailandia, il capitolo precedente nella storia dei Sea Builders. Ma l’idea che una città galleggiante potesse sorgere al largo di Phuket e che, un giorno, i suoi residenti potessero reclamarne la sovranità aveva spaventato le autorità di Bangkok e l’ingegnere capo del progetto era stato costretto a levare le ancore in grande fretta. «Le novità spaventano» chiosa Grant. «Ma vivere sul mare è un’ambizione che l’uomo ha da sempre, simile a quella che spinse i pionieri verso l’America. Anche questa in fondo è la conquista di una frontiera, il mare è una finestra da spalancare, ricca di opportunità per chi ha spirito imprenditoriale. Potrebbe trattarsi di un cambiamento epocale. E noi, che disponiamo dei mezzi necessari per realizzarlo, siamo gli unici in questo momento a lavorarci».

Il bagno del SeaPod.

Vero, lo storico movimento che oggi fa riferimento al Seasteading Institute, alla nostra richiesta di intervista, nella persona della Development director Carly Jackson, ha risposto così: «Siamo una piccola organizzazione no profit, non intendiamo progettare e costruire sistemi da soli. Il nostro ruolo è stato tradizionalmente quello di ricercatori e non abbiamo ingegneri nel nostro personale». Ocean Builders tra i propri finanziatori, in compenso, ha Rüdiger Koch, un ingegnere aerospaziale tedesco in pensione che, ci spiega Grant, «punta a esplorazioni ancora più radicali»: per Koch le piattaforme di seasteading rappresentano il perfetto trampolino per il progetto di “launch loop”, un cavo per lanciare, letteralmente, oggetti nello spazio.

Alla portata dell’americano medio

I talenti visionari non mancano, ma nemmeno il senso degli affari fa difetto. Il sito dei Sea Builders offre numerose opzioni di acquisto, affitto o multiproprietà (i Bitcoin sono il mezzo di pagamento preferito, «ma accettiamo anche versamenti via Paypal, e puntiamo, dopo i primi tempi, ad abbattere i costi fino a 195 mila dollari per un modulo, un prezzo alla portata dell’americano medio» spiega Grant).

La cucina, con vista, del SeaPod.

Per essere uno cui non manca il senso pratico e che sta scommettendo su un’idea di futuro da film di fantascienza, Grant però esita a delineare il tipo di società che ha in mente per gli abitanti dei SeaPod. «Persone diverse sono attratte dal progetto per ragioni diverse. Alcuni apprezzano l’aspetto libertario (tra i fondatori del movimento c’era Patri Friedman, anarco-capitalista e nipote del premio Nobel per l’economia, Milton Friedman, ndr). Altri vi hanno visto un’opportunità dopo che in alcuni Paesi il lockdown ha rivelato aspetti autoritari». Per ora, sostiene, loro puntano soprattutto allo sfruttamento turistico: «Decidere di vivere sul mare a tempo pieno è un grande passo, meglio andare per gradi». Chi si occuperà di mantenere l’ordine, dare le linee della governance (o almeno il regolamento di condominio), fornire i servizi essenziali è ancora da definire. E se non dovesse funzionare? «Il nostro sarà diverso da un villaggio terrestre dove le case sono piantate nel terreno. Se costruisci sull’acqua ogni aspetto della vita comunitaria si presta alla sperimentazione. Una comunità può organizzare la raccolta dei rifiuti coi droni, un’altra con le barche. Se penso alla vostra Venezia… credo proprio che potremmo darvi una mano».

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