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Architecture, urban planning and research in, on and next to water
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Luxury Green Floating Home With Solar Panels and Excellent Insulation

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Arkup’s homes will be fully self-sustaining

If you’re attracted to yachting and luxury waterfront living, you might just combine the two with Arkup’s livable yachts. Designed by Koen Olthuis with Waterstudio in collaboration with Arkup, the structures can be docked in marinas or bays, and hydraulic pilings then raise the structure above the water level protecting it from the action of the waves. In fact, the company claims that its “yachts” will withstand severe storms and floods.

Adding to the attraction, Arkup’s homes will be fully self-sustaining. Solar energy powers the cube-like living structures, and environmentally-friendly waste management systems, waterpurification plants, and rainwater tanks ensure that the environmental footprint of the homes is minimal.

Spaciousness and luxury are part of the package. The living room alone measures 775 square feet, and the units include a kitchen, a bedroom, a dining area, and a rooftop lounge. The front façade consists of sliding doors that lead out onto a terrace. To complete the luxury ambiance, Arkup has partnered with Artefacto, a Brazilian company specializing in sustainable, luxury furnishings.

While living in a sustainable Arkup home will certainly be a delightful experience, local reaction to the blockish, two-story high structures being docked alongside the coast in the medium to long term may be not always positive.

The visual footprint of coastal homes is already controversial when they block views, and if they should prove popular, local residents are bound to object to an array of elite Arkup homes obstructing the waterside vista. Nevertheless, with rising ocean levels and the expected increase in the frequency of severe storms, the homes may yet prove to be a waterfront prototype of a workable future solution.

It can be yours for USD5.5million.

Arkup’s homes will be fully self-sustaining (Arkup & Waterstudio)

Skyline view from the terrace (Arkup & Waterstudio)

Living room (Arkup & Waterstudio)

Interior design with kitchen (Arkup & Waterstudio)

Skyline view with Arkup’s green floating home (Arkup & Waterstudio)

Ground floor (Arkup & Waterstudio)

Floor plan of the second floor (Arkup & Waterstudio)

Top view of the roof with solar panels (Arkup & Waterstudio)

Rendering of elevated floating home (Arkup & Waterstudio)

Swimming floating home (Arkup & Waterstudio)

Terrace of the green floating home invites for relaxing (Arkup & Waterstudio)

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Comment l’architecture anticipe la crise emvironmentale?

By Sarah Diep
Antidote

En prévision des risques liés au dérèglement climatique, de nombreux architectes et urbanistes proposent des habitats du futur centrés sur la notion d’adaptabilité. Entre utopies inspirantes et solutions concrètes, ils illustrent tous un même postulat : l’innovation naît souvent de la contrainte.

C’est un nénuphar de 500 000 mètres carrés, bordé de trois excroissances qui lui donnent l’air de gondoler. Une structure tout en dioxyde de titane et jardins suspendus. À l’intérieur, on vit sans émissions de carbone grâce à une combinaison d’énergies renouvelables, et la permaculture assure une autosuffisance alimentaire. Cette « écopolis flottante pour réfugiés climatiques » est l’une des visions de l’architecte belge Vincent Callebaut, figure de proue d’un urbanisme biomimétique. En réponse à la montée du niveau des océans, qui risque d’affecter 250 millions de personnes dans le monde, « Lilypad » se veut être un « nouveau prototype biotechnologique de résilience écologique voué au nomadisme et à l’écologie urbaine en mer ». Ces îles artificielles pourraient abriter près de 50 000 habitants chacune et suivre les courants.

La description du projet résonne comme un manifeste politique : « Il est primordial de passer dès aujourd’hui d’une stratégie de réaction dans l’urgence à une stratégie d’adaptation et d’anticipation durable. » En grattant le vernis de l’esthétique SF et des éléments de langage « écoresponsables », on décèle un questionnement légitime – et pertinent. Où vivrons-nous demain ? Sans tomber dans la mouvance alarmiste de la collapsologie, cette science de l’effondrement et de la fin du monde popularisée sur la scène médiatique en 2018, de nouvelles formes d’habitats et de modes de vie se mettent en place en prenant en compte un dérèglement climatique de plus en plus soutenu, une population mondiale estimée à 10 milliards d’humains à l’horizon 2050 et un individualisme de plus en plus prégnant, favorisant les inégalités.

À Masdar City, un vent d’ultra-modernité souffle dans les ruelles étroites, entre les moucharabiehs pastels. Érigée en plein désert, à une vingtaine de kilomètres d’Abu Dhabi, l’écocité entend cocher toutes les cases de la ville verte modèle. Façon Silicon Valley des Émirats, Masdar – confiée au prestigieux cabinet de l’architecte britannique Norman Foster – mise sur une stratégie zéro déchet et un réseau de voiturettes électriques sans chauffeur. Le chantier pharaonique commencé il y a plus de douze ans (budget : 15 milliards d’euros) devait s’achever en 2016, il est repoussé à 2030. En attendant, les quelques milliers de primo-arrivants ne suffisent pas à lui épargner l’allure de ville-fantôme. Le salut viendra-t-il vraiment de ces créations ex nihilo destinées aux plus privilégiés en quête d’exil ? D’aucuns dénoncent déjà les contradictions du projet dans un pays autrement peu exemplaire en matière d’environnement. L’initiative pourrait néanmoins laisser espérer la possibilité d’aménagements urbains durables en terres arides, pour s’adapter notamment à la désertification des sols – un phénomène qui toucherait 23 hectares supplémentaires chaque minute dans le monde, selon l’ONU.

Fervent défenseur d’un « groundscape » (« paysage du sous-sol »), le célèbre créateur de la Bibliothèque nationale de France (BNF) Dominique Perrault préfère creuser. Littéralement. Afin de « prolonger nos bâtiments et créer un système racinaire. Parce que nos villes ne peuvent pas s’étendre à l’horizontale éternellement », développe-t-il. Dans le cadre du Grand Paris Express, il travaille sur la future gare de Villejuif, cylindre d’air de 50 mètres de profondeur et 70 de diamètre, s’enfonçant comme un puits de lumière jusqu’aux confins du métropolitain. Plus impressionnant encore, l’agence mexicaine Bunker Arquitectura a pensé un « Earthscraper », un gratte-ciel souterrain de 65 étages, sur le mode pyramide inversée du Louvre, plongeant dans les entrailles du centre-ville historique de Mexico. Une manière de gagner en qualité de vie à la surface sans obscurcir le ciel de la ville ni toucher à son patrimoine, permettant également de faire des économies de matériaux, et de garantir des espaces de vie résistants aux aléas climatiques. Soit un bunker d’un nouveau genre.

L’inquiétante intensification des catastrophes naturelles en incite d’autres à réinventer l’arche de Noé, et à rêver d’une survie de l’espèce loin de la terre ferme. Les néerlandais Waterstudio se sont ainsi spécialisés exclusivement dans les constructions sur l’eau – les Pays-Bas étant particulièrement concernés, près d’un quart du territoire se trouvant sous le niveau de la mer. Villas cubiques aux lignes épurées, salons immergés encadrés de grandes baies vitrées, îlots entiers juchés sur pilotis : voilà à quoi pourrait ressembler le paysage de demain. « 90% des plus grandes métropoles du monde se situent en littoral, souligne l’agence fondée par le charismatique Koen Olthuis. Nous devons repenser la façon dont nous habitons en incluant l’eau dans l’environnement urbain. » De l’autre côté du globe, le 13 janvier 2017, un protocole d’entente est même signé entre la Polynésie française et la fondation californienne The Seasteading Institute en vue de la création d’un ensemble d’îles artificielles autonomes. Alors que les archipels du Pacifique sont menacés d’être submergés, ces cités high-tech voudraient s’affirmer comme les symboles d’une « économie bleue » – un concept développé par l’entrepreneur belge Gunter Pauli (le pape du développement durable), qui consiste à n’utiliser que ce qui est disponible localement, ne générer que des plus-values et répondre aux besoins de la société en prenant en compte le bonheur et la santé. La Polynésie aurait finalement retiré son soutien officiel au projet, après des protestations des populations locales, craignant que des utopistes libertariens ne profitent de l’occasion pour conquérir la haute mer et se fabriquer un État avec ses propres lois.

ÉVITER LE DÉLUGE

Dès les années 1960, une mouvance « Technotopia » – décrite à l’époque par l’historienne Françoise Choay dans son antho­logie L’urbanisme, utopies et réalités – tente de placer le progrès au cœur de l’aménagement urbain et d’adapter la ville aux nouveaux besoins de nos sociétés. Il rassemble des précurseurs, dont l’architecte et sociologue Yona Friedman. Membre du Groupe International d’Architecture Prospective, l’auteur du très à-propos L’architecture de survie (1978) prône notamment un urbanisme « spatial » : une « superstructure », démontable, déplaçable et transformable à volonté par l’habitant, qui pourrait venir se positionner au-dessus des villes existantes afin de libérer de l’espace au sol. Dans un autre style, Paul Maymont envisage un « Paris sous Seine », constitué d’aménagements souterrains qui permettraient de délester les quais pour les rendre piétons. Il dessine également des villes verticales suspendues, d’autres climatisées dans le désert et même un projet d’habitat lunaire. Préoccupés par les problématiques du monde contemporain que l’on connaît encore, ces visionnaires d’après-guerre ont surtout à cœur d’insuffler une part de poésie dans les villes modernes, et leurs propositions semblent encore inspirer les utopies de notre jeune XXIe siècle. Des architectes-artistes comme l’argentin Tomás Saraceno, « carte blanche » de la saison dernière au Palais de Tokyo, projettent même un futur « aérocène », marqué par l’avènement de villes aériennes mobiles traversant les frontières aux seules forces du vent et des rayons de soleil, sans jamais recourir aux énergies fossiles.

« Il est primordial de passer dès aujourd’hui d’une stratégie de réaction dans l’urgence à une stratégie d’adaptation et d’anticipation durable. »

Finalement, investir les sous-sols, les mers ou l’atmosphère n’est-il pas une option inévitable au vu de l’état de la Terre sur laquelle nous vivons déjà ? « Nous avons besoin d’un plan B. D’ici 50 ans, je n’ai aucun doute que nous habiterons la Lune, et à la fin du siècle j’espère sincèrement que les humains seront en mesure de vivre sur Mars », allait jusqu’à prédire le feu physicien Stephen Hawking. Fantasme chimérique pour certains, il s’agit d’un horizon possible pour d’autres : soutenue par la détermination du directeur général de l’Agence spatiale européenne (ESA) Jan Wörner, l’ONG « Moon Village » a vu le jour en 2017, rassemblant industriels, universitaires et associations dans le but de créer sur la Lune une base permanente, travaillant d’ores et déjà avec Foster + Partners sur la possibilité d’habitations imprimées en 3D. Sans même parler des entreprises américaines comme Vivos, se spécialisant dans la fabrication de bunkers à destination des « survivalistes » les plus paranos, les stratégies invoquées prennent bien (trop) souvent la forme d’une fuite. Objectif : éviter le déluge à tout prix. Des imaginaires qui relèvent moins d’une lutte contre les changements climatiques que d’une accommodation résignée sur le ton de l’abandon.

UNE ARCHITECTURE DE L’EXISTANT

« On a pourri la terre donc maintenant on va envahir la mer ? Sur l’eau, sous l’eau ou dans l’espace, ce sont des environnements quand même moins hospitaliers », se rebiffe l’architecte Cyrille Hanappe. Les maquettes futuristes de villes surgies de nulle part ont beau être pleines de promesses, en attendant on se demande : que faire de toutes celles qui existent déjà ? « La ville la plus écologique, qui se réinvente, en plein développement actuellement, elle abrite déjà environ 2 milliards de personnes sur la planète : on appelle ça un “bidonville”. » Directeur pédagogique du diplôme de spécialisation « Architecture et risques majeurs » à l’École nationale supérieure d’architecture (ENSA) de Paris-Belleville, seule formation du genre en France, Cyrille Hanappe défend une vision urbaniste s’appuyant sur l’existant – et qui puisse parler au plus grand nombre, ceux qui n’auront pas les moyens de s’offrir le ticket pour la Lune. « Réfléchir à l’habitat de l’avenir, c’est se demander comment faire évoluer ces quartiers informels spontanés, les améliorer afin de diminuer les risques et que ça devienne des villes durables. » Il énumère ainsi des mesures « survival » beaucoup moins « start-up nation » que celles proposées par certains de ses confrères : se raccorder aux réseaux d’électricité et d’eau, aménager des couloirs de sécurité pour éviter la propagation en cas d’incendie, ou réhabiliter des savoir-faire traditionnels du type « puits provençal » (un système de climatisation rudimentaire, à partir d’un trou creusé dans le sol du logement, qui conserve une température constante de 17°C).

La contrainte pousse d’ailleurs à l’innovation : l’expérience révèle que c’est souvent lorsqu’on a le moins qu’on apprend finalement le mieux à survivre. Depuis 2006, le festival d’architecture expérimentale Bellastock cherche ainsi à bousculer les certitudes des étudiants en les plaçant quelques jours en conditions de « terrain ». Terre, fibres, paille, déchets, structures mobiles ou gonflables : chaque année, une nouvelle façon de bâtir est explorée par le biais d’un thème imposé. « Avec l’augmentation du nombre de réfugiés climatiques, économiques et politiques, les populations vont être de plus en plus amenées à bouger. Il va y avoir une explosion des projets d’architecture dite “d’urgence”, souligne Antoine Aubinais, le cofondateur de Bellastock. Une des idées du festival, c’est de faire un pas de côté, en testant ces approches alternatives qui vont s’imposer par la suite afin de répondre à ces enjeux. » Il manquerait peu de choses, d’après lui, deux ou trois techniques naturelles et simples, pour que les constructions les plus rudimentaires se parent de qualités environnementales accrues. Parce que dépendre de la « green tech », qui demande d’exploiter toujours plus de ressources, a ses défauts : « Il ne faut pas oublier le contexte d’ensemble : où puise-t-on nos matériaux ? Et que deviennent-ils après leur utilisation ? » En prévision de la destruction de nombreux bâtiments dans les années à venir, l’association Bellastock développe également une expertise autour du réemploi de matériaux dans le cadre de la « démontabilité » des ouvrages, afin d’en réinjecter les pièces dans de prochaines constructions – « une manière d’organiser une transition zéro déchet dans le BTP », l’un des secteurs les plus polluants au monde.

VERNACULAIRE CONTEMPORAIN

Signe que le microcosme de l’architecture évolue peu à peu, le pavillon français de la dernière Biennale de Venise en 2018 a mis à l’honneur des projets d’urbanisme collaboratif, des friches urbaines réhabilitées ou encore des espaces d’agriculture urbaine (les Grands Voisins, la Ferme du Bonheur, la Friche la Belle de Mai, les Ateliers Médicis, entre autres) – en somme : des « lieux » plutôt que des bâtiments. « L’invention d’un vernaculaire contemporain fait d’enjeux mondiaux et de matériaux locaux », résume le collectif Encore Heureux, choisi pour représenter la France lors du prestigieux événement, dans une tribune publiée quelques mois plus tôt. Il y vante également l’expérience de la ZAD de Notre-Dame-des-Landes, dont le mode de vie rappelle ceux liés aux « tiny homes » et autres « earthships ».

Ces mini-maisons écologiques sur roulettes, ou faites uniquement de matériaux de récupération, n’ont jamais autant été à la mode. À rebours de la tendance technophile, une civilisation écologique s’affirme, plus attentive à vivre qu’à survivre. « Nous sommes tous sur le même bateau, rappelle l’urbaniste et théoricien de renom Thierry Paquot. Il est hors de question d’isoler un écoquartier ici ou une île paradisiaque là. Tout est à entreprendre simultanément, ici et maintenant. » Des habitats économes et faciles à entretenir, entourés de champs cultivés en bio-agriculture, formant des « villes-paysages » et des « chapelets de bourgs » : tel est le futur désirable que dessine le philosophe. « La survie n’est que la partie tragique de la vie, celle-ci nous étant confisquée par le capitalisme liquide qui enveloppe toute l’humanité dans ses certitudes technologisées. Survivre, c’est déjà mourir. Mais vivre ne suffit pas. Il nous faut exister, c’est-à-dire édifier notre demeure sur Terre en instaurant la culture de l’amitié de l’humain avec le vivant. »

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These solar-powered floating homes are built to withstand floods and hurricanes

By Nicole Jewell
Inhahitat
April.1.2019
Photo Credits: ARKUP & Waterstudio

 

As many coastal cities struggle to come up with resiliency plans in the face of rising sea levels, Dutch architect Koen Olthuis with Waterstudio is creating sustainable, solar-powered floating residences that could offer the perfect solution. Already well-known for its high-end floating homes, Waterstudio and Miami-based Arkup are now teaming up with Artefacto, an environmentally friendly Brazilian furnishing brand, to create stylish floating houses that are not only resilient to storms and sea levels, but also represent the luxury style for which Miami is known.

Waterstudio has long been recognized for creating sustainable and attractive floating homes that can provide discerning homeowners with an “avant-garde life on water.” The residences are modern, cube-like structures that are completely self-sufficient, operating 100 percent off-grid thanks to solar power generation, eco-friendly waste management features, rainwater harvesting and water purification systems. Additionally, the homes are equipped with unique self-elevating systems that help the structures withstand high winds, floods and hurricanes.

In addition to the ultra sustainable and resilient features, the two-story floating homes boast interiors with a 775-square-foot living room, bedroom, kitchen and dining space, as well as an open-air rooftop lounge. Sliding glass doors, which almost make up the entirety of the front facade, lead out to a beautiful terrace.

Although the company has been working on its floating homes for some time, it recently announced a new partnership with Artefacto, a Brazilian furnishing company with a strong commitment to sustainability that is known for combining luxurious furniture made of raw materials with cutting-edge smart automation technologies. The floating residences will now be outfitted with eco-friendly furnishings, including high-end pieces made out of timber approved for use by the Brazilian Environment Department.

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Varend appartement

By Niek Schenk
Financieel Dagblad
March.16.2019

Op het eerste gezicht lijkt de Arkup een reguliere woonboot, maar doordat er een elektrische schroef aan is toegevoegd kan het drijvende appartement varen. Met opgeladen batterijen kan de Arkup ruim dertig kilometer ver komen.

Architect Koen Olthuis van Waterstudio.NL tekende voor het ontwerp van de duurzame boot, die een woonoppervlak van ruim 400 m2 heeft. De drijvende bungalow is voorzien van een hydraulisch systeem waarmee hij vier poten op de bodem kan zetten, voor meer stabiliteit. Dit systeem kan de villa ook boven het wateroppervlak tillen. De eerste Arkup is net gebouwd, aan een tweede wordt gewerkt. De prijs is 4,4 miljoen euro.

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Zijn drijvende huizen en steden de toekomst?

By Mary Span
Evolutiegids
2019.March.16

Over de hele wereld is hij bekend als de drijvende citybouwer: architect Koen Olthuis van Waterstudio.NL wijst naar het water als woonoord. Seasteading is niet geheel nieuw: in vroegere tijden waren er al huizen op palen. Maar Koen Olthuis heeft wel heel evolutionaire plannen voor woningen op water. Amfibisch, varend en heel eco.

“Steden kunnen veel minder statisch worden”, vindt architect Koen Olthuis (1971) van Waterstudio. Het bedrijf begon in 2003 met het maken van drijvende huizen. Ook wel bekend onder de naam boothuizen of seasteading. Niet de standaard woonboten, maar grote drijvende huizen en steden. Drijvende steden kunnen volgens hem zelfs seizoensgebonden, klimaatadaptief en verplaatsbaar zijn. Met klimaatadaptief bedoelt hij dat een woning te openen en het dak of ramen te sluiten zijn, naargelang de temperatuur buiten. “Drijvende huizen kunnen dé oplossing zijn voor mensen die in de lager gelegen kusten van de wereld van de wereld leven. De grootste bedreiging in Nederland komt niet van de stijgende zeespiegel, maar van hoge waterstanden in de rivieren en hevige regenval”, stelt Olthuis.

Langzaam maar zeker verrijzen er drijvende huizen in Nederland, bijvoorbeeld in Delft, IJburg, Amsterdam en Lelystad. In een zijkanaal van het IJ in Amsterdam-Noord gaat er de komende jaren een duurzame drijvende woonwijk ontstaan: Schoonschip. In deze wijk komen zo’n 105 mensen te wonen die samen gaan bouwen aan drijvende huizen, tuinen en circulaire systemen. Alle woningen krijgen een groen dak dat minimaal 1/3 van het dakoppervlak moet beslaan. De bewoners ontwikkelen samen een smart grid en gaan zelf energie opwekken met vijfhonderd zonnepanelen en dertig warmtepompen.

Ook in Dubai zijn drijvende huizen te vinden, luxe villa’s met een volledige verdieping onder water. Dit project met een groot aantal eilanden in de vorm van de wereldbol heeft enige jaren stil gelegen maar na het einde van de wereldwijze kredietcrisis begint er langzaam aan weer leven in het Floating Seahorses project te komen.

Het nieuwste project van Olthuis, in samenwerking met ontwikkelaar Dutch Docklands, is een drijvend hotel dat gasten de kans biedt om al badend in luxe langs de kust van Tromso, Noorwegen te drijven. Het hotel, genaamd The Krystall, heeft de vorm van een zespuntige ijskristal en zal een diameter van maar liefst 120 meter hebben. Het moet gasten een van de meest luxueuze hotelervaringen in de poolcirkel gaan bieden, inclusief een spectaculair uitzicht op het Noorderlicht. De boodschap van Koel Olthuis is dan ook: “Zie water als een extra ingrediënt in de stedenbouw dat veiligheid, ruimte en flexibiliteit biedt.”

Nederland is al toonaangevend in het ontwerpen en beheren van waterbouwkundige werken; met de bouwkennis van drijvende ecologische woonplekken kan ons land weer Hollands Glorie worden. Een opmerking is wel op z’n plaats: het bouwen van klimaatadaptieve drijvende huizen, wijken, eilanden, hotels en steden is volgens mij een uitstekend idee, zolang het water maar niet als afvalemmer wordt gebruikt.

Koen Olthuis tekent nieuwe seastead

In juni 2019 is er een drijvend zeedorp ontmanteld van Thaise vrijbuiters, die voor de Thaise kust probeerden een drijvende gemeenschap te stichten. De belangrijkste motivatie is het vinden van ware vrijheid. De Thaise regering had weinig begrip voor hun zee-actie.

Het ideaal van drijvende huizen of seasteads op volle zee geniet veel belangstelling. Koen Olthuis heeft nu opdracht gekregen van een groep ondernemers om een nieuwe, grotere seastead te ontwerpen. Hij denkt dat het ideaal technisch gezien best te realiseren is. Obstakels zijn de economische levensvatbaarheid van de zeegemeenschap en de tegenwerking van staten. Olthuis voorspelt dat over 10 of 15 jaar bouwers de overstap zullen maken naar drijvende huizen of steltenhuizen, bijvoorbeeld in Florida.

Denktank Seasteading Institute

Onder degenen die plannen voor leven op zee voorstellen is ook het Seasteading Institute actief, een non-profit denktank die de oprichting van drijvende oceaansteden promoot als een revolutionaire oplossing voor enkele van ‘s werelds meest urgente problemen: stijgende zeespiegels, overbevolking, slecht bestuur en meer. Al bijna een decennium werkt het Seasteading Institute aan het creëren van autonome drijvende gemeenschappen op de oceaan, waar kolonisten hun eigen regels kunnen stellen. De kosten van het leven op de oceaan moeten laag genoeg zijn en de zakelijke kansen veelbelovend genoeg, zodat er een economische stimulans is voor mensen om op seasteads te leven. Momenteel zijn de hoge kosten van open ocean engineering een grote toetredingsdrempel. Dit belemmert het ondernemerschap in internationale wateren.

In 2017 stemde de regering van Frans-Polynesië (bestaande uit 100 eilandjes die kwetsbaar zijn voor zeespiegelstijging) ermee in om seasteading toe te staan. Deze innovatieve drijvende stad zal ontwikkeld worden in samenwerking met het Amerikaanse Seasteading Institute en hun financiële partner Blue Frontiers uit Singapore. Sinds de overeenkomst is het Seasteading Institute bezig met het creëren van de juiste politieke en economische omstandigheden en om stakeholders bij elkaar te krijgen. De bouw van de stad begint in 2019 en ze hopen dat de eerste 300 bewoners in 2020 kunnen intrekken.

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Floating Miami mansion propped up on hydraulic stilts that can withstand 155mph hurricanes and turns rain into drinking water goes on market for $5.5m

By Connor Boyd
Dailymail.com
Photo credits: Craig Denis
March.01.2019

 

  • The Arkup #1 was designed by Dutch firm Waterstudio.NL and features four bedrooms, each with an en-suite
  • Hydraulic stilts can be deployed to depth of 20ft to stabilize dwelling or lift it above water line to avoid waves
  • Rainwater is collected from the roof and purified for drinking, while solar panels power the electronics inside 

The finishing touches have been put on a floating mansion that can withstand rising sea levels and Category Four hurricanes of up to 155mph after years of development.

The Arkup #1 was designed by Dutch architecture firm Waterstudio.NL and will cost a whopping $5.5 million to own.

The property – propped up on hydraulic stilts – measures 75ft-long comprising 4,350sq ft of open-plan space including a lounge, dining area, kitchen and bathroom. Upstairs, there are a total of four bedrooms, each with an en-suite bathroom.

This contemporary floating home in Miami – that can withstand rising sea levels and Category 4 hurricanes of up to 155mph- is on the market for a cool $5.5million

The Arkup #1 – as it’s called – was designed by Dutch architecture firm Waterstudio.NL who say the home is a fusion of cutting edge technology and luxury. It boasts a spacious living area which invites natural lighting to pour in through its many windows

The property measures 75ft-long comprising 4,350sq ft of floorspace. Its hydraulic structure means you’re guaranteed a good night’s sleep, regardless of how choppy the water is outside

You can relax in its king-sized freestanding bathtub which overlooks the palm trees and sparkling waters of Miami

The hydraulic stilts can be deployed to a depth of 20 ft to stabilize the dwelling or lift it above the water line to avoid waves and reduce hull maintenance. The mansion comes with an outdoor area perfect for catching a tan and hosting parties

The stilts can be deployed to a depth of 20ft (6m) to stabilize the dwelling or lift it above the water line to avoid waves and reduce hull maintenance. There’s a lot of other tech installed in the Arkup #1 too, including a solar panel array and up to 1,000 kWh battery bank that Arkup says is sufficient to power it off-the-grid. Rainwater is collected from the roof and purified for drinking, and solar panels are used to power the internet, TV and radio.

There’s a lot of other tech installed in the Arkup #1 too, including a solar panel array and up to 1,000 kWh battery bank that Arkup says is sufficient to power it off-the-grid

Rainwater is collected from the roof and purified for drinking, and the solar panels power the internet, TV and electric cookers

The inside features an open-plan ground floor layout that looks out onto the spacious balcony area. It also features a lounge, dining area, kitchen, and a bathroom. Upstairs, there are a total of four bedrooms, each with an en-suite bathroom

The model is currently for sale in Miami and Arkup says it plans to build three more in the next 12 months.

The home is propelled by a pair of 100 kW (134 hp) electric azimuth thrusters, allowing it to reach 7 knots. The Arkup #1 is fronted by a slide-out deck area, and generous glazing. The model is currently for sale in Miami and Arkup says it plans to build three more in the next 12 months. The firm is also looking into the possibility of developing eco-resorts in the Middle East, Asia and the Caribbean.

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Une maison flottante qui résiste aux ouragans

By: Les Clés de demain
March.01.2019

Ces maisons peuvent supporter des vents allant jusqu’à 410 km/heure et la montée des eaux.

© Arkup

L’architecte Koen Olthuis et la start-up immobilière Arkup ont dévoilé les plans d’une série d’habitations flottantes au salon nautique international de Fort Lauderdale. Ces structures flottantes ont été conçues pour supporter non seulement la montée des eaux, mais également les vents violents jusqu’à 410 km/heure associés aux cyclones de catégorie 4, rapporte Digital Trends.

Un système hydraulique permet à la maison de se rehausser de plus de 6 mètres en cas de montée des eaux. De plus, une série de panneaux solaires sur le toit permet à chacune de ces maisons flottantes de fonctionner complètement en dehors du réseau électrique en cas de coupure de courant causée par une catastrophe climatique. Ces péniches aménagées intégrent également un système de collecte et de filtration des eaux de pluie, leur permettant de répondre aux besoins de base en matière de ressources en eau douce.

Arkup a inauguré ses premières résidences flottantes lors du salon nautique de Miami en 2019. Un emplacement idéal pour présenter les structures car Miami pourrait être durement touchée par le changement climatique. Selon les scientifiques, la ville pourrait être au moins partiellement submergée d’ici 2100.

Les premiers logements d’Arkup ne seront probablement pas une option pour la plupart des gens, en particulier avec un prix pouvant atteindre les 5,2 millions d’euros. Ce prix se justifie néanmoins par une surface impressionnante de près de 400 mètres carrés. Le design de ces maisons peut également être personnalisé selon les goûts du propriétaire, avec un maximum de quatre chambres et quatre salles de bains et demi. Elles peuvent être installées à terre, ancrées par des plots hydrauliques, ou mises à l’eau. Avec ce premier modèle à son actif, Arkup envisage de créer des structures plus petites, d’une superficie d’environ 150 mètres carrés et dont le prix sera bien évidemment inférieur.

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Water: The next Frontier

By Erik Bojnansky
BT Senior writer

For a view million, you can ride out the rising seas in style

 

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Future Proof: Arkup Luxury “Boathouse”

By Rhapsody magzine
2019.March.05

The Arkup #1 floating home is a US$5 million luxury boathouse investment against rising sea levels

For sale for US$5.5 million, the luxurious Arkup floating house should be the ultimate high net worth individual’s contingency plan against the looming spectre of rising sea levels

The Arkup No.1 Floating Home is not just a luxurious concept but a revolutionary one. Designed by Dutch architect Koen Olthuis of Waterstudio.nl, Arkup is a unique floating home realised from Olthuis’s  philanthropic focus on future habitats and the challenges of rising sea levels and floods resulting from climate change as well as the needs of a booming world population.

The 4 bedroom (each equipped with its own en-suite bathroom) luxury “houseboat” is an off-grid “blue dwelling” and so you aren’t exactly “living on a yacht” – you get to enjoy all the creature comforts of landed real estate except that you’re living right on the water instead of a mere waterfront.

Ranked 122nd on TIME Magazine’s list of the most influential people in the world, Olthuis and his firm specialises in floating structures and homes. His own native Netherlands (through innovative use of dikes, Holland is built mostly on wetlands) with one-third reclaimed land and sits below sea-level so water-based issues are challenges that he has a unique perspective on. The Arkup No.1 or officially “Arkup #1” is a 75 ft (22.9m) long two-story luxury houseboat with 4,350 sq ft of space; the first edition floating home was furnished by Brazil’s Artefacto.

For sale for US$5.5 million, Olthuis’s luxurious Arkup floating house should be the ultimate high net worth individual’s contingency plan against the looming spectre of climate change. Unveiled at the recent Miami Ycaht Show, the Arkup #1 floating home boasts solar power, stabilizing hydraulic stilts, and its own engines. The hydraulic stilts are an innovating  self-elevating system can go down 20 feet to lift it above the waves, keeping you and your home safe in a storm. Suffice it to say, if you happened to be caught away from the shore during a storm or a calamitous tsunami event, the Arkup is a literally boathouse, it would just float on the mega waves. Arkup No. 1 is also designed to withstand a Category 4 hurricane (up to 250 km/h winds) and carries stories stored solar energy reserves in its 1,000 kWh battery pack for night time power needs as well as a rainwater collection system for moderate water self-sufficiency.

A pair of 100kW thrusters with 272 horsepower can move the Arkup #1 luxury boathouse up to seven knots, allowing high net worth individuals to flee some of the devastation should a climate disaster strike. Arkup livable yachts combine the best attributes of yachts, floating houses and waterfront villas, with the added benefits of being self-sufficient, sustainable and environmentally friendly.

#1 is for sale in Miami and there are plans to build three more in the next 12 months. There are also preliminary project plans for eco-resorts in the Middle East, Asia and the Caribbean.

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Arkup’s incredible floating home is finally complete… and it’ll cost you $5.5 million

By Adam Williams
New Atlas
February.27.2019
Photo credits: Craig Denis

 

The Arkup #1 is rated to withstand Hurricane winds of up to 155 mph (250 km/h)(Credit: Arkup)

 

You could be forgiven for thinking that Arkup’s ambitious concept for a floating home would never be realized, but it has indeed been built and is now for sale for a cool US$5.5 million. Boasting solar power, stabilizing hydraulic stilts, and its own engines, the first model was recently unveiled during the Miami Yacht Show.

The Arkup #1, as it’s officially called, is a 75 ft (22.9 m)-long two-story ultra-luxury houseboat comprising 4,350 sq ft (404 sq m) of floorspace. It was designed by Dutch architecture firm Waterstudio.NL and the model pictured was furnished by Brazil’s Artefacto.

Its most interesting feature compared to other floating homes we’ve seen is its hydraulic stilts. These can be deployed to a depth of 20 ft (6 m) to stabilize the dwelling or lift it above the water line to avoid waves and reduce hull maintenance. The firm also says that it’s rated to withstand Category 4 Hurricane winds of up to 155 mph (250 km/h).

There’s a lot of other tech installed in the Arkup #1 too, including a 36 kW solar panel array and up to 1,000 kWh battery bank that Arkup says is sufficient to power it off-the-grid. Rainwater is collected from the roof and purified for drinking, and a bunch of communication systems are used for the internet, TV and radio. The home is propelled by a pair of 100 kW (134 hp) electric azimuth thrusters, allowing it to reach 7 knots.

The Arkup #1 is fronted by a slide-out deck area, and generous glazing. The model shown features an open-plan ground floor layout with lounge, dining area, kitchen, and a bathroom. Upstairs, there are a total of four bedrooms, each with an en-suite bathroom.

The model pictured is for sale in Miami and Arkup tells us it plans to build three more in the next 12 months. The firm is also looking into the possibility of developing eco-resorts in the Middle East, Asia and the Caribbean.

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